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CRÉEZ UNE COMPTABILITÉ ANALYTIQUE ‘TÉLÉCOM’, SANS DÉLAI ET À PEU DE FRAIS, AVEC COST-EC.

Mettre en place une comptabilité analytique est un pré-requis de compétitivité pour tout opérateur économique confronté à la concurrence. Ce n’est jamais une tâche facile. La complexité et l’évolutivité du réseau de télécommunication en fait une tâche  encore plus compliquée pour les prestataires de services officiant dans ce secteur.

Cost-EC a été conçu pour permettre à tout opérateur de réseaux de télécommunication de se doter, très vite et à peu de frais, d’une comptabilité analytique extrêmement précise. Il suffit en effet de faire ou d’adapter la codification des centres de coûts ainsi que celle des immobilisations et de les intégrer dans les procédures de saisie des écritures en comptabilité générale.

Cost-EC fait tout le reste.

 

Cost-EC  est mis à la disposition du marché depuis novembre 2010 seulement. Jusqu’à cette date deux types modèles étaient exploités tant par des opérateurs que par des autorités de régulation :

1.     Des modèles de type « Proxy » fondés sur les principes suivants :

  1. Estimation des coûts d’exploitation du réseau qui supporte le service dont il faut calculer le coût. Cette estimation s’appuie sur les résultats comptables de l’opérateur ;
  2. Estimation des CAPEX (annualisées par le biais de l’amortissement). Il arrive qu’à ce stade l’on tente une modélisation du prix des principales infrastructures de télécommunication (souvent sous forme de simples équations linéaires) et que l’on invoque un « coefficient de progrès technologique » dans le but de transformer les coûts historiques en coûts actuels ;
  3. En estimant les OPEX et les CAPEX on distingue autant que possible les coûts directs, les coûts indirects identifiables à un ou plusieurs services dans l’optique de minimiser la proportion des coûts non classables ailleurs que parmi les coûts communs ;
  4. Estimation des volumes de trafic annuels des services dont on souhaite calculer le coût ;
  5. Estimation des facteurs de routage par comptage mécanique du nombre de fois qu’un type d’infrastructure de télécommunication est parcouru par un service donné et pondération par les volumes de trafic ;
  6. Allocation des coûts aux services grâce aux facteurs de routage ou à d’autres clés de répartition ; les termes « calcul de l’incrément » sont quelque fois utilisés à ce stade ;
  7. Division du coût total du service par son volume annuel.

 

2.     Des modèles plus élaborés fondés sur l’ingénierie des réseaux et sur les principes suivants :

  1. Estimation des coûts d’exploitation du réseau qui supporte le service dont il faut calculer le coût. Cette estimation s’appuie sur les résultats comptables de l’opérateur ;
  2. Estimation des CAPEX (annualisées par l’amortissement). Il arrive qu’à ce stade l’on tente une modélisation du prix des principales infrastructures de télécommunication (souvent sous forme de simples équations linéaires) dans le but de constituer, pour chaque type d’infrastructure de télécommunication  un catalogue de prix reflétant si possible les technologies les plus avantageuses connues;
  3. En estimant les OPEX  on distingue autant que possible les coûts directs, les coûts indirects identifiables à un ou plusieurs services dans l’optique de minimiser la proportion des coûts non classables ailleurs que parmi les coûts communs ;
  4. Sur la base de la demande de trafic (en erlang) constatée au niveau des faisceaux de circuits (ou canaux de communication), une matrice de trafic ventilée est élaborée. Celle-ci est utilisée par la suite aussi bien pour calculer les facteurs de routage grâce à la technique de calcul des ressources incrémentales moyennes que pour estimer plus précisément le volume de trafic de chacun des services ;
  5. Allocation des coûts aux services grâce aux facteurs de routage ou à d’autres clés de répartition ;
  6. Division du coût total du service par son volume annuel.

 

3.     COST-EC appartient à la deuxième catégorie de modèles avec les améliorations suivantes :

  1. Calcul des OPEX : Cost-EC apporte plus de précision car il est capable d’incorporer le plan comptable du pays concerné et d’importer puis traiter l’ensemble des écritures comptables dans l’optique d’une allocation parfaite des coûts aux centres de coûts existants ou créés pour les besoins de la tarification ;
  2. Calcul des CAPEX : Cost-EC permet d’aller très loin dans la description et la codification des immobilisations, qu’elles relèvent des investissements de structure ou des investissements industriels. Cela donne à Cost-EC un avantage considérable lorsqu’il s’agit d’actualiser les investissements et éviter l’utilisation d’un coefficient dit de « progrès technologique » arbitraire. Les régulateurs peuvent, s’ils le souhaitent, estimer le coût des infrastructures comme indiqué en 2b) ci-dessus, les opérateurs peuvent, pour leur part, calculer très précisément le prix actuel de ceux-ci ;
  3. Contrairement à des modèles tarifaires connus jusqu’ici, Cost-EC utilise une approche holistique qui lui permet de simuler toutes les activités d’un opérateur, que ce dernier exploite un ou  plusieurs réseaux, qu’il partage son infrastructure avec d’autres opérateurs ou pas, que ses réseaux soient à commutation de circuits ou à commutation de paquets .
AVEC COST-EC

Tarification de services

Cost-EC peut s’adapter à toutes les plans comptables existants ou à venir sans le moindre développement logiciel nouveau. C’est l’outil qui s’adaptera à l’environnement et pas le contraire. Néanmoins, la conception de l’outil est fondé sur le postulat que la comptabilité de l’opérateur est conforme aux principes généraux de comptabilisation et d’affectation des coûts aux centres qui les consomment.

Pour un « candidat-opérateur »  les informations produites par son plan d’affaires se substitueront aux données d’une comptabilité inexistante.

Toute l’approche tarifaire de Cost-EC est fondée sur la détermination précise des ressources différentielles nécessaires pour offrir un service donné. C’est donc fondamentalement un instrument concrétisant les principes du fameux « LRIC / CMILT».

Plus encore, Cost-EC est conçu pour permettre à l’opérateur de choisir librement la définition de ses services à l’intérieur d’une classe de qualité de service donnée, mais aussi de combiner plusieurs classes dans un même service. C’est la Liberté vers l’avenir.

Les services offerts incluent les services destinés aux utilisateurs finals, mais aussi les services de terminaison et de transit offerts à d’autres opérateurs, qu’ils soient nationaux ou internationaux. Cost-EC est une réponse à toutes les questions qui peuvent se poser au sujet de l’interconnexion des réseaux dans un environnement multi-opérateur et multiservice. Les régulateurs, en particulier, trouveront en Cost-EC un auxiliaire efficace.

 

Tarification aux coûts marginaux dans un environnement libéralisé

Une conséquence directe de ce qui précède est que Cost-EC, outre les réponses qu’il apporte aux questions réglementaires, reste un outil de stratégie d’entreprise une fois le besoin de conformité réglementaire satisfait.

Il permet à l’opérateur ou au fournisseur de services d’explorer la « chaîne de valeur » dans son marché et d’exploiter ses avantages concurrentiels au mieux de ses intérêts. Connaître les coûts marginaux intrinsèques  d’un service constitue certainement un pas important dans cette direction. 

Règlementation des services

… fondés sur les réseaux actuels

Les réseaux de télécommunication/TIC actuels sont généralement constitués de couches séparées, chacune spécialisée dans la facilitation de l’offre de services spécifiques. Depuis le milieu des années 1990 les directives réglementaires ont tendance à épouser cette réalité en s’appliquant de façon distincte et spécifique à chaque réseau particulier. Cette situation perdure dans une large majorité de pays car les licences octroyées dans les marchés alors fraichement libéralisés sont encore en cours de validité.

TACTIKOM a forgé des solutions permettant de tenir compte de cet existant tout en se mettant en situation pour accompagner les opérateurs et les régulateurs pendant la période de transition vers le réseau unique (Convergence).

… fondés sur les réseaux de nouvelle génération

Les réseaux dits de « prochaine génération » sont plus proches qu’on ne le pense : ils sont déjà dans les « double-play », « triple-play » et autres initiatives telles que Skype qui effacent progressivement les limites entres les réseaux et les services. Cette convergence accélérée est une priorité pour tout opérateur de réseau et/ou fournisseur de service car il s’agira, dans des marchés généralement libéralisés, de rester compétitif sur chaque niche.

Pour les autorités nationales de régulation, la situation devient presque périlleuse car la séparation des comptes qui a encore cours sur les divers réseaux deviendra obsolète. Ce phénomène est bien compris car le nombre de pays dans lesquels des licences globales sont octroyées augmente régulièrement. Il n’en demeure  pas moins que les régulateurs auront de moins en moins de « prises » pour confirmer la justesse de l’allocation des coûts aussi bien aux services facturés aux clients qu’à ceux offerts aux autres opérateurs .

Cost-EC peut aider à relever ce nouveau défi.

Un opérateur décide, suite à des études prospectives approfondies, d’offrir de nouveaux services à sa clientèle. De cette décision découle la nécessité de recenser les besoins en ressources induits par cette nouvelle offre. Ces ressources relèvent généralement des catégories suivantes :

1.      Les ressources qui varient avec le volume de consommation directe du service (exemple : les ressources en éléments de réseau);

2.      Les ressources qui deviennent nécessaires dès que le service est offert, mais qui ne varient pas nécessairement lorsque le volume de service consommé varie (exemple : un logiciel de facturation d’un nouveau service) ;

3.      Les ressources d’appui qui existaient peut-être mais dont le redimensionnement pourrait s’avérer nécessaire (exemple : le support commercial).

 

L’analyse qualitative de ces facteurs est un préalable à la faisabilité effective du projet d’introduction d’un nouveau service.  Elle doit être suivie de la quantification de chacune des ressources nécessaires ainsi que de la valorisation de celle-ci.

Dans cet exercice, le dimensionnement des besoins en ressources en infrastructure de réseau constitue un élément essentiel souvent éludé. Cette situation mène souvent à des désagréments en matière de qualité qui peuvent être fatals au service naissant.

C'est encore plus important lorsqu’il s’agit de gérer en même temps la migration vers des technologies nouvelles dont les offres sont susceptibles de cannibaliser des services existants.

Cost-EC permet une prise en charge précoce du dimensionnement des réseaux aussi bien pour les services existants que pour les services nouveaux, tout en tenant compte de l’infrastructure existante. La question de la migration y est prise très au sérieux compte tenu de la période transitoire dans laquelle se situe actuellement le secteur des télécommunications/TIC.

Cost-EC s’acquitte parfaitement du dimensionnement des réseaux existants, mais est conçu conformément aux recommandations pertinentes des organisations internationales relatives à la migration des réseaux mobiles vers les solutions dites de Troisième Génération, mais aussi à la migration de tous les réseaux vers les Réseaux de Prochaine Génération (NGN). Ceci est un gage important donné aux opérateurs, aux régulateurs et aux autorités politiques que les solutions qu’ils choisiront  ne leur seront pas imposées par les limites d’un instrument de travail.

Cost-EC est un « Simulateur Polyvalent de Réseaux et Services ». Son module de dimensionnement de réseaux est construit autour des mêmes algorithmes de routage que ceux utilisés dans les réseaux réels.  Il est conçu pour pouvoir expliquer pourquoi le réseau réel a de mauvaises performances, mais surtout pour dire ce qu’il faut changer pour obtenir les performances voulues.

Audit technico-comptable de la mise en œuvre des directives en matière de qualité de service et d’efficacité

La bonne qualité de service est une exigence forte du client, donc une préoccupation constante du fournisseur de services. Il n’empêche que dans bien des cas la Haute Direction de l’entreprise n’est vraiment informée que lorsqu’il se produit une défaillance ayant déjà affecté sensiblement les clients.

D’un autre côté, la qualité de service est pour l’essentiel le reflet de la façon dont les ressources sont allouées aux différents segments de réseau : une insuffisance de ressources entraine une dégradation de la qualité de service et détruit les bases sur lesquelles, par exemple, les taxes d’interconnexion ont pu être négociées. Mais en même temps des ressources surabondantes, non seulement ne mènent pas à une amélioration d’une qualité de service déjà bonne, mais induisent des coûts évitables qui, au bout de la chaine, sont payés par les clients, par les opérateurs interconnectés ou/et par les actionnaires.

Le meilleur moyen d’éviter les inconvénients mentionnés ci-dessus est de prévenir et de gérer l’évolution de cette qualité de service, au lieu de seulement la constater de temps en temps.

Cost-EC, simulateur polyvalent de réseaux et services, peut être un instrument précieux dans cette perspective pour les opérateurs mais aussi pour les régulateurs chargés de surveiller le respect des prescriptions réglementaires en matière de qualité de service.

 
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